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 Courrier du matin...[suite Adriano]

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Anastasia S. Del Sonno

Anastasia S. Del Sonno


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MessageSujet: Courrier du matin...[suite Adriano]   Courrier du matin...[suite Adriano] I_icon_minitimeMar 3 Nov - 18:33

Avant ce post... [-->]



    Attrapant d’une main translucide le bras offert chaleureusement par son chauffeur la sylphide redressa son jupon de l’autre. A l’ instant où ses fins pieds quelque peu recouvert par ses chaussures caressèrent le sol devant le château Tedeschi. Ansatsia ne fut pas en premier lieu surprise par la splendeur de l’immense château mais plutôt par l’inégalable beauté du jardin qu’elle semblait apercevoir. Comme transporté la jeune femme lâcha de le bras du gentilhomme, permettant à son corps frêle de la porté jusqu’au jardin, celui-ci paraissait s’étendre sur des milliers de kilomètre, de nombreuse fleurs plus indéfinissable de splendeur les unes que les autres subsistaient aux températures quelques peu spéciales de Roccianera. Les yeux pétillants de la jeune fille s’écarquillèrent, les lèvres légèrement entre ouverte elle sembla perdu dans un autre monde, le paradis existais, il se trouvait là, sous ses yeux d’éthérée, façonné sur les conseils d’Adriano Tedeschi …La sylphide se rapprocha encore jusqu'à pouvoir touché de bout de ses doigts filiformes les délicates pétales de…de…tellement de fleurs différentes se trouvaient exposée que Saska ne saurait dire celle qu’elle avait effleurer, approchant par-ci par-la afin d’humecter les somptueux parfums floraux l’innocente créature ne pris pas garde aux chemin qu’elle empruntais au fur et à mesures de ses captivantes découvertes.

    La sylphide, absorbée par l’envoutement de ce lieu magique en oublia les raisons inconnue de sa présence, cependant un raclement de gorge guttural provenant de derrière elle retentit, perçant l’apaisant chant produit par le vent qui berçais les fleurs. Soufflant involontairement une onomatopée de surprise la poupée de porcelaine sursauta. Une main sur la poitrine Anastasia se retourna vers un homme élégamment paré, le visage de celui-ci lui semblait fermer et légèrement agacée.
    Tel une enfant prise en flagrant délit elle abaissa les yeux.

    - Dedemoiselle Del Sonno. La salua poliment l’homme. Je vous pris de me suivre, Monsieur est agréablement disposé à vous faire partager son précieux temps.

    Emboitant le pas du majordome la jeune femme désira à maints reprise s’arrêter afin de sentir une nouvelle fois l’enivrant parfum des plantes, toutefois, celle-ci convins intelligemment en qu’il serait malvenu de sa part de récidiver, surtout après le regard indifférent qui la toisait de temps à autres.

    La sylphide pénétra dans le château les yeux de nouveau pétillants sur sa droite se trouvait de grandiose fenêtre donnant sur les allées du château…Quelqu’un l’avait-il remarqué se balader là, comme un bandit ? Des statues en marbre blanc dépoli, dans le goût des représentations mythologiques baroques, une Vénus, un Apollon, des anges tous quelque peu dévêtu démarquait les allées.

    Devant l’innocente créature de l’or et du marbre s’entrelaçaient, éclairant la pièce. Dans le salon, un époustouflants lustre, une grandiose cheminée ainsi qu’une immense armoire vitrée contenant certainement d’indéfinissables sortes d’alcools. Anastasia ne put s’empêcher d’effectuer un tour sur elle-même dans le but d’apercevoir chaque élément qui rendait la pièce magique. La lumière scintillante du matin reflétait avec émerveillement sur des appliques en or incrusté de perles le long des murs blanc. Apercevant les mêmes fleurs captivantes qu’elle avait effleuré quelques minutes auparavant la jeune femme sourit.
    Elle ne pouvait le nier, le Maitre des Lieu bénéficiait d’un gout incommensurablement inégalable et irréprochable.

    La poupée de porcelaine s’approcha d’une desserte certainement disposée là en son honneur, ces yeux vagabondaient sur les somptueux mets, son ventre n’ayant pas reçu le déjeuner du matin, étant donner que la jeune fille était partie précipitamment après lecture de la lettre du Sieur Tedeshi elle ne résista pas longtemps, déposant un minime morceau d’amuse bouche sur sa langue elle le dégusta un parfum inattendu illumina ses papilles. A la deuxième bouchés, la sylphide ferma les paupières, laissant le délicieux parfum du mets l’envahir toute entière…
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Adriano Tedeschi
    I saw something in your eyes, I'm sure ...

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MessageSujet: Re: Courrier du matin...[suite Adriano]   Courrier du matin...[suite Adriano] I_icon_minitimeDim 15 Nov - 3:25

Courrier du matin...[suite Adriano] Rosenb-1 Courrier du matin...[suite Adriano] Stamcinema
Et plus tard un ange, entr'ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les fleurs fanées et les flammes mortes.


Assis dans le fauteuil de velours épais trônant près de l'immense fenêtre de sa chambre, le Prince tenait entre ses mains l'une des roses qu'il avait été couper le matin-même dans les jardins, afin d'en décorer la coiffeuse de sa femme, la belle Alice, sa tendre Alice, comme chaque matin, comme il en avait toujours été.
Ces mêmes jardins, elle avait dû les parcourir avec une hâte démente, quelques temps plus tôt. Leur splendeur nocturne n'avait sans doute plus rien signifié pour elle ce soir-là. Celle du domaine entier n'avait plus été que poussière dant le brasier de ses illusions fracassées. Un autodafé de souffrance, feu de joie de la plus grande des trahisons, autour duquel avaient dansé sans répit des rêves frappés d'une horreur soudaine. Alice...

Il effleurait distraitement les pétales de la rose, les yeux perdus vers la fuite de son épouse, qu'il voyait presque courir avec dans les membres la folie du désespoir, sa robe d'albâtre flottant avec une grâce désordonnée derrière ses pas frénétiques, Cendrillon minuscule au milieu des ténèbres.
La chambre était si vide, si froide. Mais il ne savait plus ce que ces mots voulaient dire depuis si longtemps. Il avait seulement retrouvé l'idée de la douceur dans les bras de cette humaine façonnée de ses mains dans le sein de sa mère, cette petite perle délicate et fragile qu'il n'avait de cesse de retrouver dans chacun de ses moments de solitude. Il l'entendait rire, il la voyait sourire, il sentait le satin de sa peau contre la sienne, son goût sur ses lèvres, et son parfum hantant sa mémoire.
"Nulle autre qu'elle." C'étaient les seuls mots capables de résumer tout cela.

La fleur noircit et se désécha entre ses doigts longs et blancs comme des cierges de mort.
Alice...


On frappa à sa porte.
Il n'eut d'abord aucune réaction. On insista, puis la voix de son majordome qui criait presque se fit entendre, étouffée par l'épaisseur de la porte.


- Monsieur, pardonnez-moi d'insister...
- J'ai demandé à rester seul, coupa-t-il fermement.

Ses yeux descendirent doucement vers la rose qu'il venait de tuer à l'heure de sa plus éblouissante beauté.


- C'est que Monsieur a reçu un courrier de la maison del Sonno.

Contemplant la fleur un instant, il la déposa sur le rebord de la fenêtre avec une infinie précaution, puis se leva pour aller ouvrir au domestique.
L'homme d'âge mûr tenait paume tendue sous un linge blanc le retour de la signorina del Sonno. Adriano cueillit le papier raffiné, l'ouvrit devant son majordome, puis après lecture, le replia avec un sourire.


- Luigi, vous voudrez bien apprêter le salon pour une invitée, s'il vous plaît?
- Assurément Monsieur.
- Bien. Alors que les choses soient bien faites, voyez large. Dressez toutes les pâtisseries que vous pourrez. Je veux voir le paradis sur une desserte.
- Mais, Monsieur, permettez-moi... Nous n'avons pas d'autres pâtisseries que celles qui seront proposées aux repas...!
- Débrouillez-vous, éluda-t-il en fermant la porte au nez du pauvre Luigi tout décontenancé.

Deux ans qu'il servait l'aristocrate, et il n'arrivait toujours pas à anticiper ses excentricités.
Il soupira, redescendant vers les cuisines en toute hâte.




Quand la voiture de l'invitée arriva, Adriano était toujours enfermé dans la chambre seigneuriale. Il suivit tout le parcours de la demoiselle, admira la grâce avec laquelle elle descendit de son véhicule, et fut subjugué, une nouvelle fois, de voir combien Dieu savait parfois produire des oeuvres d'art d'une étincellante beauté.
Les flâneries de la demoiselle lui donnèrent tout le temps d'observer les moindres détails de son aspect physique, que ce soit ses traits, ses formes de jeune fille en fleur, les couleurs qui paraient tout son être, mais aussi son attitude, sa façon de se mouvoir, et la délicatesse avec laquelle elle se penchait sur les fleurs dont Alice, avant elle, avait tant de fois humé la capiteuse fragrance.
Mais plus encore qu'Alice, cette créature revêtait tous les aspects de la perfection. C'en était proprement déroutant. Comment une humaine pouvait-elle à ce point ressembler à...

Elle disparut de son champ de vision. Une pointe d'excitation prit le maître des lieux, et il ne tint pas à supporter davantage de suspense. Il fallait qu'il la voie devant lui, qu'il ressente sa présence, qu'il respire son parfum. Et s'il était possible qu'elle soit réellement ce qu'elle semblait être?

Il descendit les marches de marbre avec un sourire radieux, marchant à grandes enjambées élégantes vers le salon où il l'avait faite conduire.




La porte, entr'ouverte comme c'était l'habitude quand on y attendait quelqu'un, ne grinça pas le moins du monde quand il agrandit son entrebâillement pour pénétrer dans la salle lumineuse où se tenait, debout devant le petit jardin de délice dressé pour lui, l'ange qu'il avait demandé à voir.


- Mademoiselle del Sonno, commença-t-il avant de s'interrompre.

Il referma la porte derrière lui sans cesser de contempler cette merveille qui brillait presque davantage que la lumière elle-même.
Mais ce sont ses yeux qui manquèrent de le clouer sur place, et son coeur d'humain eut un raté. Jamais de part le monde qu'il avait tant de fois parcouru, à tous les âges de l'humanité, il n'avait rencontré pareil regard.
L'Ether y vivait, y pulsait comme il l'avait vu ondoyer autour de lui, air ambiant plus pur que l'air ambiant, dans le Jardin originel où il était né. C'était la source de son sang qu'il voyait jallir de ces prunelles iridescentes, le berceau de sa vie. Plus beau que le plus beau des rêves.

Il eut un sourire ému, ému de deviner au creux de ces deux joyaux puissants le plus beau souvenir qu'il conserverait jamais de toute son existence, avant de reprendre d'une voix où le ravissement ne se voilait pas :


- Je suis proprement enchanté de voir que vous avez été si prompte à répondre à mon invitation. Soyez la bienvenue. Oh, êtes-vous satisfaite du petit buffet que nous avons dressé là? Je ne sais rien de vos goûts, j'ai préféré être prudent.

Il vérifia d'un coup d'oeil que ce qu'il avait demandé était bien accompli, et fut heureux de voir que malgré le court terme de sa requête, ses domestiques avaient réussi à mettre en place une farandolle de friandises assez coquête. Il les remercierait et les récompenserait dûement pour cela.
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Anastasia S. Del Sonno

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MessageSujet: Re: Courrier du matin...[suite Adriano]   Courrier du matin...[suite Adriano] I_icon_minitimeLun 16 Nov - 1:15

Emporter par un ouragan de sentions d’une intensité indescriptible la sylphide se sentit s’envoler, décoller avec douceur de la Terre puis rejoindre le monde merveilleux de la bonté, le pays lumineux de ses songes innocents, ou la douceur régnait avec amour et prospérité, dans lequel chaque être ne connaissaient d’autres expressions faciales que celle enchanteresse du bonheur qui l’envahit. Elle ne sentit la présence masculine du maitre des lieux, trop absorbé par sa poignante rêverie angélique.

- Mademoiselle del Sonno.


Saska eu une légère inspiration de surprise, elle rouvrit ses pales paupières avec douceur infinie, le décor inégalable de perfection se répandit devant elle, ne lui donnait guère l’impression d’être redescendu sur terre, dans une réalité tout autre, seule la voix masculine qui se profila dans la tête fascinée de la jeune femme lui permit de se situer. Avec une douceur précieuse la poupée de porcelaine s’avance de quelque trois pas vers le bon Seigneur, ses yeux plus pâle que des lapis-lazulis rencontrèrent ceux du prince l’espace de quelques courtes secondes avant qu’Ansastasia ne les fassent parcourir délicatement l’éphèbe, il caressèrent le visage de celui-ci avec curiosité et animosité, cherchant à recenser le plus d’information sans paraitre impolie, ce n’était pourtant pas la première fois qu’elle l’apercevait cependant jamais d’aussi près. L’homme poussa délicatement la porte dans l’intention certaine de la refermer, émerveillant Saska qui se rendit compte que la porte ne produisait aucun son, tout ce qui se rapprochait au prince se trouvait-il donc irréprochable de perfection ?

- Bonjour Monsieur Tedeshi.


Sur le visage dépourvu d’imperfection de l’éphèbe se peignit un sourire semblait-il véritablement ému, Anasatsia, affectée, répondit du fond de son cœur, elle sourit, dévoilant une rangée de dents blanches, une joie nouvelle l’inonda, tel une chaleur enivrante, son corps ressentit l’émotion authentique du Maitre des lieux.
Son cœur d’éthérée tambourina avidement dans sa poitrine, tout lui semblait si merveilleux dans une réalité.

- Je suis proprement enchanté de voir que vous avez été si prompte à répondre à mon invitation. Soyez la bienvenue. Oh, êtes-vous satisfaite du petit buffet que nous avons dressé là? Je ne sais rien de vos goûts, j'ai préféré être prudent.


Percevant le ravissement dans la voix de l’éphèbe, la fragile poupée rayonna de plus belle, enivrée, tant de chaleur et de sympathie pour une seule et même personne la semait entre rêve et réalité. Son angélique sourire éternellement affiché elle effectua quelques trois pas délicats en direction de son interlocuteur.

- Je vous remercie grandement de prendre le temps de m’accueillir immédiatement. je m’excuse d’arriver à l’improviste, seulement votre lettre m’a parut importante.

Le laquais qui était venue la cueillir comme une rose égarée dans l’immense jardin magique du somptueux château n’avait-il pas énoncé que le temps de son maitre se trouvait être précieux ? La sylphide ne désirait guère déranger le seigneur Adriano Tedeshi, déjà qu’elle s’imposait au château en rendant visite à son propriétaire avec, simplement une brève lettre certainement arriver quelques minutes plutôt, attitude pas réellement digne de son éducation, une courte lueur de d’incertitude et de gène traversa le visage d’Anastasia avant que son faciès d’éthérée ne réapparaisse…

- Je m’excuse d’arriver à l’improviste, seulement votre lettre m’a parut des plus sérieuse.

Tout lui semblait constamment important, qu’il s’agisse d’un simple mendiant ou du prince, le plaisir qui l’envahissait à chaque fois que la poupée de porcelaine portait secoure à un être vivant se trouvait être incommensurable, tel une vague adrénalinienne de chaleur saisissante, une sentions indescriptible faisant frémir chacune des frêles parties de son corps, battre son cœur avec folie harmonieuse, à contrario, la vue d’une âme dans le désespoir et la souffrance Saska ne pouvait le supporter ou même le permettre, ses organes lui infligeaient à l’exactitude la douleur effroyable administrée à la personne en difficulté, une vision insupportable qu’était pour elle celle d’être malheureux. Dieu n’avait-il pas clamé le devoir d’aider son prochain quoi qu’il en coûte ?

- Tout n’est qu’émerveillement et magie, ravissement et perfection…Ajouta Miss del Sonno de sa voix cristalline en guise réponse à l’amusante question de l’adonis.

Chaque magnificence disposée avec goute autour d’elle scintillaient, les yeux de Saska demeuraient encore pétillants et écarquillés, son sourire éternellement éblouissant illuminant son d’ou visage, elle ne parvenait à songer qu’elle ne foulait le sol du paradis.
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